Nuit Internationale de la chauve-souris
Une première pour le parc du Marquenterre ! Dans le cadre de la nuit internationale de la chauve souris une conférence sortie est organisée par Aurélie Delaval
à la découverte de ces passionnants mammifères volants. Vingt et une espèces sont présentes en Picardie dont au moins 7 sur le parc du Marquenterre où leurs études et recherches sont en
cours ! Une occasion unique pour répondre à toutes vos questions sur l’écholocation, l’élevage des petits, l’hibernation, et toutes les idées reçues… Un moment unique avec l’espoir de
croiser leur vol dans le parc !
Aurélie, guide naturaliste au parc et spécialiste en chauve-souris, nous explique: « La Nuit Internationale de la chauve-souris se déroulera pour la première fois au Parc Ornithologique
du Marquenterre afin de mieux connaître ces demoiselles de la nuit. La soirée débutera avec un diaporama à 20h30 puis nous partirons en balade nocturne dans le parc à leur
recherche. Le retour est prévu au pavillon d’accueil à 22h30. Prévoir lampes, chaussures de marche, vêtements chauds ».
Pour réserver merci de contacter le parc par téléphone (03 22 25 68 99) ou par e-mail (parc.marquenterre@baiedesomme.fr).
Bonjour Bertrand,
En effet,les détecteurs permettent d’entendre et d’enregistrer les ultrasons des chauves-souris. Le rythme, l’intensité, la fréquence et la durée vont permettre de déterminer jusqu’à l’espèce grâce à diverses analyses informatiques. C’est qu’elles nous en cachent des choses ces demoiselles de la nuit !
Bonjour Bertrand,
En effet,les détecteurs permettent d’entendre et d’enregistrer les ultrasons des chauves-souris. Le rythme, l’intensité, la fréquence et la durée vont permettre de déterminer jusqu’à l’espèce grâce à diverses analyses informatiques. C’est qu’elles nous en cachent des choses ces demoiselles de la nuit !
Bonjour Bertrand,
En effet,les détecteurs permettent d’entendre et d’enregistrer les ultrasons des chauves-souris. Le rythme, l’intensité, la fréquence et la durée vont permettre de déterminer jusqu’à l’espèce grâce à diverses analyses informatiques. C’est qu’elles nous en cachent des choses ces demoiselles de la nuit !